Des corps de style
par Rémy Argensson (Art 21) Dans cette série intitulée Corps de style, datant de 2005, Julien Spiewak tente de concilier à la fois sa passion pour le meuble d’époque et ses recherches photographiques sur le corps. C’est à la suite d’une
몸이 입는 가구, 가구가 눕는 몸: 줄리앙 스피와크의 « Corps de style » 시리즈
권진 (독립 큐레이터) 이야기에 대한 우리의 상상은 종종 하나의 장면에서 출발하기 마련이다. 머릿속에서 희미해져 가는 한편의 영화를 기억해내야 할 때, 어떤 장면을 떠올리면 앞 뒤의 이야기 조각들이 꿰어 맞춰진다. 잊혀진 추억 속 하나의 이름도 그와 연결된 어떤 장면부터 거꾸 로 거슬러 올라가면
Bodies wearing furniture; furniture lying on bodiesJulien Spiewak’s ‘Corps de style’ series
Jin Kwon, Independent Curator Sometimes, our imagination of a story begins with a single scene. When we have to recall a film that is gradually fading from our memories, we take one scene that remains intact and piece together the various fragments
Prix HSBC pour la Photographie
Il y a dans la démarche de Julien Spiewak cette parfaite adéquation entre le projet et la réalisation, entre le modèle et le décor, avec ce zeste de fantaisie qui confère à son travail un univers photographique à part entière.
L’inventaire qu’il dresse est précis, à un détail près…
par Virginie Lorient, directrice de la galerie Bettina Julien Spiewak réalise, depuis 2005, la série Corps de style, dans des intérieurs de musées et des collections privées, en France et à l’étranger. L’inventaire qu’il dresse est précis, à un détail près,
Comme si elle n’avait été qu’une longue et profonde respiration
par Benoît Blanchard, docteur en Esthétique La photographie qui nous fait face semble avoir été prise quelques instants avant l’ouverture des portes, alors que la fraîcheur de la nuit a enveloppé les meubles de son manteau de calme, que tout est
우리가 보는 것이 우리를 응시할때만 가치가 있다. 하지만 우리가 보는 것과 우리를 응시하는 것의 분리는 불가피한다. 그러므로 본다는 행위는 두가지 개념을 통해서만 드러난다는 이러한 모순된 명제로 부터 시작해야 한다
(조르주 디디 위베르만) 줄리앙 스피웍은 예술적 표현으로 인간의 몸과 사진의 관계에 끊임없는 질문을 던지고 있는 사진가이다. 프랑스와 브라질의 역사 박물관을 배경으로 제작된 시리즈를 보면, 처음 이미지를 대하는 순간 관찰자의 시선은 우아함과 디테일이 잘 묘사되도록 명확한 조명과 정면성으로 촬영된 고전의 배경과 그
O que vemos só vale – só vive – em nossos olhos pelo que nos olha
por Isabel Sanson Portella, Doutora em História e Crítica de Arte “O que vemos só vale – só vive – em nossos olhos pelo que nos olha. Inelutável porém é a cisão que separa dentro de nós o que vemos daquilo